En haute altitude, la raréfaction de l’apport en oxygène n’est pas le seul facteur auquel le corps humain doit faire face. À chaque dénivelé supplémentaire, le métabolisme doit s’adapter aux conditions extérieures difficiles, son équilibre hormonal évolue.
Afin de comprendre comment les femmes s’adaptent à l’altitude en fonction des variations hormonales du cycle menstruel ou de la ménopause, le programme de soutien à l’innovation dans le sport et la performance en Valais et l’Université de Lausanne ont démarré une étude.
À l’heure actuelle, moins de 35% des recherches menées en sciences du sport incluent les femmes. L’une des raisons mentionnées ? Les fluctuations hormonales liées au cycle menstruel. En lançant cette étude sur le site de Spark, le Valais lance un signe clair d’inclusion des femmes dans le panorama sportif et de la performance.